Artificialisation des sols et bétonisation : quel bilan du quinquennat d’Emmanuel Macron ?
Nous en savons quelque chose avec le GCO, imposé en 2018. En 2022, malgré une lenteur juridique, la justice administrative n’a pas dit son dernier mot…
Nous en savons quelque chose avec le GCO, imposé en 2018. En 2022, malgré une lenteur juridique, la justice administrative n’a pas dit son dernier mot…
« Avec le GCO, 128 agriculteurs ont perdu des terres agricoles. Les pertes seront réparties entre 500 exploitants dans le cadre d’un réaménagement de parcelles. »
Encore de l’accaparement de terres et d’espaces naturels en projet dans le Bas-Rhin. Le Parc du Ried est un projet qui menace 40ha de terres agricoles et un espace boisé sur la commune de Hoerdt. Un collectif veut s’y opposer.
Encore de l’accaparement de terres en plaine Alsace qui menace un espace « protégé » à Plobsheim. Nous vous proposons quelques pistes d’aide pour s’opposer au projet et répondre à l’enquête publique en cours jusqu’au 30 avril…
Fin mars nous relayons la pétition du collectif Hatten Demain engagé contre un projet de zone d’activités de 54 ha qui menace 6 paysan.nes. Dans un article du 9 avril, France 3 Alsace leur donne la parole.
Enquête publique jusqu’au 30 avril à Plobsheim sur le projet d’implantation du siège social de Mark International France et une filiale multimédia. 2,9 ha d’espaces agricoles et naturels menacés.
Un projet de 54ha menace la pérennité de six exploitations à Hatten (Alsace du Nord). Aidons le collectif Hatten Demain et signons cette pétition !
La loi Climat aurait dû être prometteuse. Il n’en sera rien. Les aménageurs du territoire ont encore de beaux jours devant eux au détriment des terres agricoles et espaces naturels, par manque de courage politique.
L’urgence climatique oblige à agir aujourd’hui, pas demain… Sauf qu’il n’y a aucun courage politique à suspendre l’un ou l’autre projet en cours, ni même les remettre en cause dans l’utilité / destruction qu’ils génèrent. Vinci a encore frappé…
Artificialisation des sols, en 2020, 11,1% de la superficie du Bas-Rhin était artificialisée[…]. A Strasbourg, ce pourcentage passe à 46,9% de son territoire, selon l’analyse de l’INSEE des données de 2018.
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