L’heure des choix…

« Si nous voulons de vrais changements et une prise en considération de nos préoccupations en matière d’écologie, il est urgent de remplacer le système politique tel qu’il est dirigé aujourd’hui. Il nous faut des hommes et des femmes qui aient le courage politique de s’affranchir de la pression lobbyiste de multinationales dont l’écologie n’a d’intérêt que si elle peut leur rapporter de l’argent[…]

C’est le cas pour Vinci

[…] Or, nous n’avons qu’une seule planète et elle n’est pas une valeur marchande à négocier. »

écrit Bruno Dalpra, membre de notre collectif dans un billet
« Nous exigeons une loi Climat plus ambitieuse et conforme à la Convention Citoyenne » 

« Nous avons peut-être perdu une bataille, mais pas la guerre »

A l’heure où le réchauffement climatique est une réalité que nul ne peut plus ignorer, à l’image des canicules à répétition de ces dernières années, dégrader des espaces qui ne se seront jamais compensés –juste dans l’imaginaire de ceux qui les détruisent pour se donner bonne conscience– ne doit plus se produire.

L’État en imposant le GCO, a fait du mal à l’Alsace. Son choix politique, en dédommagement de l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, est un cadeau fait à Vinci qui va à l’encontre d’une logique démocratique. Nous avons peut-être perdu une bataille, mais pas la guerre.
Ailleurs, trop de projets sont encore à l’étude ou en phase de décisions, sans que les mesures en matière d’écologie entreprises par le gouvernement d’Emmanuel Macron, ne les remettent en question. C’est grave et en même temps, nous avons encore collectivement les moyens de faire pression. C’est ce qu’entreprend GCO NON MERCI en soutenant des luttes locales, comme des causes nationales à l’image du mouvement pour le climat.

Notre collectif a toujours soutenu les mobilités douces et durables, la recherche d’alternatives au tout-voiture, la diminution du trafic routier (voitures et surtout les camions), le tout dans l’objectif de réduire les nuisances : bruit et pollution. Nous n’avons pas réussi à empêcher la construction du GCO. Pour autant, la lutte est loin d’être terminée !

Toujours debout, non résigné.es …

Il est temps de prendre la mesure des enjeux écologiques.
Nous sommes tous et toutes concernés !