Des irréductibles au pays de Vinci apportent un autre regard sur le GCO
Le GREENWASHING FESTIVAL d’ARCOS/Vinci, nous y reviendrons…
Ce mardi 16 novembre, au moment d’écrire cet article, nous sommes dans l’attente du verdict des juges de la cour administrative d’appel de Nancy : Vinci pourra-t-il ouvrir son autoroute en décembre ou attendre ? Tic-tac… tic-tac !
En attendant, retour sur la journée du 13 novembre :
ACTE I – « Beaucoup de photos prises par Alex mais c’est pour tout ceux qui n’ont pas eu le plaisir de visiter le nouveau péage Vinci et de découvrir les stands futuristes. Une centaine de militants ont manifesté à l’extérieur alors qu’une poignée avait décidé de tenter d’entrer sur l’autoroute. Réussite car nous avions repéré la veille sous le brouillard, la possibilité d’entrer à un km avant le péage. Les gendarmes présents nous ont photographié et c’est tout. »
Ainsi, la petite bande joyeuse est remontée en direction du festival Vinci dédié à son auto-promotion en déployant sa banderole « GCO, Alsace couloir à camion », peu fier de leur petit coup !
Arrivé au village des stands, le petit groupe est accueillis par Jean-Luc Fournier, le grand manitou de Vinci. Généreusement, il autorise les militants anti-GCO d’entrer, mais sans leur banderole. Sous l’oeil des vigils d’Arcos, leur chef prévient : « si vous fichez le bazar, j’appelle les gendarmes ». Dans l’attente du jugement de ce mardi, la petite troupe prend l’engagement de ne pas faire d’esclandre. Ainsi,
« Nous avons rencontré Robert Hermann bien bedonnant (cf photo) ce qui a permis d’échanger quelques arguments. Pour lui, l’emprise GCO c’est 240 hectares et non 300 !! … Sacré Robert, on ne le changera plus ! »