Nous n’avons pas à rougir de ce que nous avons fait !

Avec l’avancement des travaux qui piquent aux yeux, des médias qui ne donnent pas toujours la parole aux opposants lorsqu’ils font la promo du GCO, quelques voix s’élèvent pour critiquer ce que nous n’aurions pas fait de plus pour empêcher le projet de démarrer.

A ceux qui mettent en doute la vaillance des opposants, par pur provocation ou par colère de voir les travaux avancer, nous répondons :

Nous n’avons pas à rougir
de ce que nous avons fait !

A tous et toutes dans la lutte

Chaque personne qui s’est engagée dans notre lutte l’a fait en fonction de ce qu’elle pouvait être capable de faire… et merci !

Qu’aurions-nous pu faire de plus ? Bien sûr, dans les actions de lutte sur le terrain, nous aurions pu faire tout « péter »… mais qui aurait pris le risque d’aller en prison pour cela ?

Validé contre toute logique environnementale, l’Etat a fait preuve d’une violence institutionnelle extrême. Sous protection des gendarmes, Vinci a pu démarrer ses travaux avec plus d’un an de retard… ne pas l’oublier non plus !

L’Etat nous a marché sur la figure, puis nous a maintenu au sol grâce aux gendarmes et Vinci est passée.

La réalité post-abandon de Notre-Dame-des-Landes

Pour autant, nous sommes là et toujours là.

Si les autorités et Vinci s’imaginent obtenir notre résignation, c’est mal nous connaitre. Que cela soit directement ou indirectement, il y aura toujours des choses à dire sur la route de Vinci !

NOUS SOMMES LA ET TOUJOURS LA !

VINCI GEH HEIM