Vinci ment !
Vinci autoroute prit la main dans le sac. L’entreprise parle de mobilité durable alors qu’une autoroute n’a jamais été écologique.
Vinci autoroute prit la main dans le sac. L’entreprise parle de mobilité durable alors qu’une autoroute n’a jamais été écologique.
La bonne surprise (ironie) pour les futurs utilisateurs de l’autoroute de Vinci à l’Ouest de Strasbourg : un coût du péage qui sera supérieur aux tarifs annoncés.
L’urgence climatique oblige à agir aujourd’hui, pas demain… Sauf qu’il n’y a aucun courage politique à suspendre l’un ou l’autre projet en cours, ni même les remettre en cause dans l’utilité / destruction qu’ils génèrent. Vinci a encore frappé…
Un rapport sénatorial pointe la rentabilité élevée des autoroutes pour les sociétés concessionnaires, 15 ans après la privatisation. Les profits vont s’envoler en fin de concessions. En 2016, le contrat de concession signé entre l’Etat et Vinci concernant le GCO, l’a été pour 54 ans…
« On le sait désormais ils iront jusqu’au bout.
Ils raseront les forêts, ils videront les mers des thons, des baleines, des sardines…
Ils pressureront les roches, ils feront fondre les pôles, ils noirciront l’Alaska, ils réchaufferont l’atmosphère jusqu’à l’ébullition. […]
Tout ça, on sait que si on les laisse faire, ils le feront. » François Ruffin (dimanche 31 mars)
« On nous a dit que le GCO créerait des emplois… Visiblement les temps changent et Vinci a décidé d’appuyer son action sur des stagiaires… Des emplois ? Non bien entendu il n’y a pas de petits profits !! » En fait ils poursuivent la logique du bénéfice maximum en prenant des stagiaires pour faire le boulot…
ARCOS, SOCOS, … des noms que l’on voit circuler. Mais savez-vous qu’ils sont ? ARCOS ARCOS SA est la société concessionnaire créé par le groupe VINCI pour gérer les 24 km de l’hypothétique autoroute de contournement Ouest de Strasbourg. Son siège social est basé à Schiltigheim au 1 rue de Lisbonne. A terme, elle viendrait…
Nous relayons cet article qui met en lumière les paradoxes d’une politique « des autoroutes » où l’on peut s’interroger sur les raisons qui poussent l’État à soutenir des multinationales comme Vinci alors qu’il existe des solutions alternatives (taxe poids lourd, covoiturage, création et/ou amélioration des transports en commun, …) et où l’intérêt économique y est tout…
Alors que les associations ont eu du mal à se procurer les annexes du contrat de Concession signé avec Vinci, et que certaines dispositions concernant le financement sont restées secrètes, la presse nous dévoile une partie du montage financier envisagé par Vinci pour le GCO. Olivier Claudon a publié le 4 mars 2016,…
Il n’y a aucun évènement à venir.