Nous relayons cet article qui met en lumière les paradoxes d’une politique « des autoroutes » où l’on peut s’interroger sur les raisons qui poussent l’État à soutenir des multinationales comme Vinci alors qu’il existe des solutions alternatives (taxe poids lourd, covoiturage, création et/ou amélioration des transports en commun, …) et où l’intérêt économique y est tout…